Accéder au contenu principal

Soirée de lancement de la revue La Piscine le 27/10/2017

Lecture de mon texte "Il faut être sauvage", publié dans le numéro 2 de la revue la Piscine sur le thème "Incidences/coïncidences". 
Photo : Claire Musiol

C'était le vendredi 27 octobre 2017 à la librairie Sauramps Odysseum à Montpellier, nous fêtions le lancement du numéro 2 de la revue La Piscine en présence de 3 des 4 maîtres-nageurs (Louise Imagine, Philippe Castelneau, Christophe Sanchez... manquait Alain Mouton) à l'origine de cette très belle revue (une des plus belles où j'ai publié), de 6 auteurs (Raymond Alcovère, Daniel Frayssinet, Claire Musiol, Nat Yot, Françoise Renaud et moi-même) et de l'artiste Olivier Chevalier. 
Une bien belle soirée de lectures et d'échanges autour de la littérature, de l'art et de la vie... qui me donne envie de revenir bien vite à Montpellier (et d'y rester un peu plus longtemps)!!!
Merci à tous pour votre accueil chaleureux, en particulier à Nathalie et ses deux chats.

Pour en savoir plus sur le sommaire de ce numéro (qui compte pas moins de 58 auteurs et artistes contemporains... autant dire de belles découvertes en perspective), la commander ainsi que les anciens numéros, prendre connaissance des appels à contributions et des conditions de publication, c'est par là. 

Posts les plus consultés de ce blog

Présentation de "Sylvia, la fille dans le miroir" et du numéro 13 de l'Ampoule à la librairie du Basilic

Un grand merci aux libraires de la librairie du Basilic pour leur chaleureux accueil ce mercredi 5 juillet pour la présentation de mon premier roman paru aux éditions Sans Crispations et pour celle du dernier numéro en date de la revue l'Ampoule des éditions de l'Abat-Jour. Merci beaucoup également aux personnes qui se sont déplacées pour ce double évènement.  Marion Pain, artiste-illustratrice et Mehdi Perocheau, écrivain, publiés plusieurs fois dans la revue l'Ampoule et également auteur du feuilleton en ligne intitulé "Le coursier". L'écrivain Roland Goeller, publié de nombreuses fois dans la revue l'Ampoule et auteur du recueil "Failles" publié aux éditions de l'Abat-Jour fin 2022. La librairie du Basilic est une très belle librairie dédiée à l'imaginaire sous toutes ses formes, située en plein coeur de Bordeaux (non loin de la rue Sainte Catherine) au 20 rue du Mirail. Vous y trouverez des livres bien sûr (du beau livre au livre de p

Critique de "Sylvia, la fille dans le miroir" par Nathalie Zema

Merci à Nathalie Zema pour sa critique de mon roman sur le site Scifi-universe.com que je reproduis ici en intégralité et que l'on peut retrouver ici. Un récit fantastique bordelais Un texte profond et intimiste Si vous aimez le charme envoutant des romans fantastiques du XIXème siècle, approchez et découvrez le premier roman de  Marianne Desroziers .  Sylvia, la fille dans le miroir  est un récit intimiste et poétique, un texte beau et émouvant sur la quête de soi. Esther est une jeune femme qui vit à Bordeaux de nos jours. Elle sort du bureau de sa directrice de thèse, enthousiaste, elle va pouvoir étudier et écrire sur l’œuvre de Sylvia Plath une écrivaine et poétesse américaine. Elle rentre chargée de livres dans son petit appartement des Chartrons quand, de sa psyché en bois d’acajou, une voix lui demande : «  et ton poème ?  » Alors débute une conversation, après certes quelques hésitations et un café renversé, entre une jeune femme qui cherche sa voie et son autrice tant ad

Critique de "Sylvia, la fille dans le miroir" par Angélique Rodride

Très touchée de cette jolie critique de mon livre publiée sur son compte Facebook fin juillet 2023 par Angélique Rodride, écrivain talentueuse (notamment dans la revue l'Ampoule) et lectrice passionnée. On peut la suivre sur Instagram et la lire sur Atramenta. Un voyage unique qu’on ne peut oublier. J’ai vraiment aimé cette œuvre de Marianne Desroziers. Évidemment, il y a l’univers de Sylvia Plath, le monde de la littérature et de l’édition aussi en filigrane mais ce voyage dans l’univers sensible et si particulier d’Esther m’a profondément bouleversée. Soir ou matin , j’allais retrouver Esther et Sylvia… Des rencontres sans rendez-vous, des temps hors du temps qui m’interpelaient, me secouaient ou me consolaient. J’ai fini la lecture de « Sylvia, la fille dans le miroir » depuis plusieurs semaines et je suis encore fortement touchée par ce roman et hélas je n’arrive pas à trouver les mots pour le commenter à hauteur de ce qu’il m’a apporté. N’est-ce pas à cela que l’on reconnait