Sur son blog littéraire "L'écritoire des Muses" , Annie Forest-Abou Mansour me fait l'honneur de cette très belle critique : Une mise en miroir Dans Sylvia, la fille dans le miroir de Marianne Desroziers, une année de la vie d’une jeune doctorante prénommée Esther, est proposée dans une narration à la troisième personne du singulier en focalisation interne ou omnisciente, puis à la première personne. Et en miroir sont données à lire la vie et l’oeuvre de Sylvia Plath , célèbre écrivaine et poétesse américaine que la dépression mènera au suicide. Cet ouvrage original à la densité fulgurante, chargé de sens, éveille la curiosité et le plaisir tout en invitant à la réflexion et en s’ouvrant sur de multiples lectures. D’emblée le titre et l’illustration de la couverture de l’ouvrage en noir et blanc d’Olivia HB, en osmose avec l’histoire narrée, inspirent le rêve. Le miroir, objet pictural, poétique, littér...